(liste à compléter, phrases courtes, c’est mieux)
- Le téléphone sonne : tant pis.
- Penser l’infini, régulièrement.
- Pleurer quand il le faut, il le faut.
- Écrire avec un stylo, de temps en temps.
- La mer est-elle toujours là ? Allez vérifier (*).
- J’arrête définitivement mon blog, sans prévenir.
- Votre patron : « Puis-je vous parler ? » - Vous : « Non ».
- Supprimer un rendez-vous important (**), sortir, marcher.
- Un soir, pour une fois, écouter ses amis avec un cœur pur (***).
- Dans la rue, chanter doucement, longtemps, en balançant les bras.
- Dans la rue, croiser quelqu’un et lui sourire de toutes vos dents (****).
- Lire un poème nouveau par jour, il n’y a pas que Baudelaire, merde.
- Un matin, dans l’ascenseur, appuyer sur un autre bouton que celui de son bureau.
- Apprendre le solfège et le chinois en même temps, si c’est la même chose pour vous.
- A la piscine, vous sautez pour la première fois de votre vie du plongeoir de 10 mètres (*****).
- « Pendant que des mortels, la multitude vile » : non, Baudelaire n’a pas toujours raison.
- Pendant une heure, ne dire que ce qu’on pense, vraiment, sans faire de tort à personne (******).
- Alternative : se taire le plus longtemps possible, alors qu’on a furieusement envie de parler.
- Porter des chaussettes rouges une fois de temps en temps, discrètement, sans que personne ne le sache.
- Regarder son enfant droit dans les yeux, lui poser doucement la main sur le bras et lui dire : « Je t’aime ».
- Laisser un autre faire ce qu’on a très envie de faire, alors qu’on pense qu’on le fera mieux que lui et plus vite (*******).
- Lire « Les Confessions » de Saint-Augustin en pensant à sa propre mort, qui viendra, forcément, un jour, c’est tout à fait sûr... (********)
(à suivre…)
(*) La réponse est oui mais allez-y quand même, on ne sait jamais.
(**) Il n’y a pas de rendez-vous important.
(***) Très dur mais possible.
(****) Bien se les brosser ce matin-là.
(*****) On a le droit de fermer les yeux.
(******) Mais que pense-t-on vraiment ?
(*******) C’est valable pour ses enfants.
(********)… Mais quand?
La confiance est la bande passante de la connaissance
RépondreSupprimerJe perçois, j'espére à tort, comme une sorte d'engourdissement et de climat de défiance qui gagne notre société française et même quelques uns de ses entrepreneurs...handicaps sérieux dans cette société de la connaissance que nous devons in...