Il s'appelle W. Mark Felt et était le numéro deux du FBI à l'époque (1972). Tout le monde s'en fout. Par contre, plus intéressant, un fan de cinéma m'écrit:
"Deep Throat, pour ceux qui ne l'aurait pas vu, était le premier film "culte" scandaleux de l'époque où Linda Lovelace
était devenue la championne mondiale d'apnées toutes catégories. Elle a fini
alcoolique".
Je ne vois pas le rapport.
En attendant de répondre plus longuement à Baron(sur communication et information) qui me signale qu'elle est concernée voire impliquée... "Etre impliqué ou "être concerné"? : pour faire comprendre la différence à des gens, par exemple en séminaire de motivation des troupes, vous leur dites simplement: "Si vous voulez faire des oeufs au bacon, vous avez besoin, au départ, d'une poule et d'un cochon; la différence à l'arrivée, dans votre poèle, c'est que la poule est concernée mais le cochon, lui, est impliqué."
L'homme qui a permis à l'affaire du Watergate de sortir, ne généralisez pas votre cas "tout le monde" ne s'en "fout" pas. C'est quand meme une histoire qui a marqué l'histoire du journalisme moderne ! Je sais.. votre réaction figure dans la catégorie "Humeur du jour" ce pied de nez est très tendance "blog" mais vous etes aussi journaliste et vous revendiquez comme tel... Vous écriviez l'autre jour en appelant à une charte "L’outil vous bondit des doigts, on pianote avant même de penser." L'homme du Watergate vous laisse froid soit. Ce "tout le monde" n'est-il pas de trop ?
RépondreSupprimerGilles Klein: Non, bien sûr, il ne me laisse pas froid! Ceci dit, je n'ai jamais aimé l'hyperbole qu'on a mise sur les journalistes du Post; ils ont eu le pot de trouver un baveux sans l'avoir cherché et, ensuite, ils ont fait leur boulot. Et à l'époque la hiérarchie de ces quotidiens avait encore un peu de courage. Ce qui n'est plus le cas aujourd'hui quand on lit "Black List".
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