Je ne sens rien de fraternel chez aucun de nos candidats à la présidentielle, je ne vois rien de fraternel dans nos entrepries soumises aux diktats des financiers, même la famille s'est durcie et le fossé, pourtant habituel, entre générations, n'a jamais été aussi large. On regarde les jeunes comme une dôle d'engence, on souligne leur ambivalence (con-testaires et con-sommateurs, optimistes individiuellement et pessimistes socialement, etc. ). Mais on ne leur propose aucune vision de passion, même pas un sourire. La France n'a plus d'ambition sociale collective. Elle n'est pas une société bloquée, elle est juste une société à oeillères, une juxtaposition d'egos corporatistes. Soleil cou coupé dirait Apollinaire. Faudrait voir à se réveiller!
Je ne sens rien de fraternel chez aucun de nos candidats à la présidentielle, je ne vois rien de fraternel dans nos entrepries soumises aux diktats des financiers, même la famille s'est durcie et le fossé, pourtant habituel, entre générations, n'a jamais été aussi large. On regarde les jeunes comme une dôle d'engence, on souligne leur ambivalence (con-testaires et con-sommateurs, optimistes individiuellement et pessimistes socialement, etc. ). Mais on ne leur propose aucune vision de passion, même pas un sourire. La France n'a plus d'ambition sociale collective. Elle n'est pas une société bloquée, elle est juste une société à oeillères, une juxtaposition d'egos corporatistes. Soleil cou coupé dirait Apollinaire. Faudrait voir à se réveiller!
Commentaires
Enregistrer un commentaire