Reçu ça dans mon courrier ce matin. Pas encore vérifié:
"La Presse
Collaboration spéciale
Pourquoi couper des arbres quand on n'a qu'à se baisser pour trouver la matière première du papier? Les excréments de plusieurs animaux sont ainsi recyclés par des entrepreneurs écolos pour en faire des produits de qualité.
L'Elephant Poo Poo Company propose à ses clients nord-américains des cahiers et bloc-notes issus de la bouse d'éléphant une ressource abondante puisqu'un seul pachyderme en produit une centaine de kilos par jour. Sur son site Web (poopoopaper.com), l'entreprise explique qu'une seule bouse, mêlée à des fibres de bananier pour plus de solidité, peut donner 25 grandes feuilles de papier, de quoi produire une dizaine de journaux.
Au pays de Galles, c'est le mouton qui alimente les produits Sheep Poo Paper (creativepaperwales.co.uk). Des morceaux de textile recyclés sont ajoutés pour renforcer le papier. L'artisan suédois Lars Cronquist, quant à lui, exploite les excréments de l'élan mieux connu ici sous le nom d'orignal.
En Thaïlande, les 25 kilos quotidiens du couple de pandas national, Huang Chuang et Lin Hui, sont mis à contribution pour payer les frais d'entretien de leur zoo. Des produits du papier issu de leur caca conjugal ont déjà permis d'encaisser plus de 10 000 $.
Dans tous les cas, le procédé de production nécessite un long séchage au grand air, un nettoyage, puis un ajout de fibres végétales pour produire une «galette» d'où seront coupées les feuilles de papier.
--source photo--merci Thierry 0--
"La Presse
Collaboration spéciale
Pourquoi couper des arbres quand on n'a qu'à se baisser pour trouver la matière première du papier? Les excréments de plusieurs animaux sont ainsi recyclés par des entrepreneurs écolos pour en faire des produits de qualité.
L'Elephant Poo Poo Company propose à ses clients nord-américains des cahiers et bloc-notes issus de la bouse d'éléphant une ressource abondante puisqu'un seul pachyderme en produit une centaine de kilos par jour. Sur son site Web (poopoopaper.com), l'entreprise explique qu'une seule bouse, mêlée à des fibres de bananier pour plus de solidité, peut donner 25 grandes feuilles de papier, de quoi produire une dizaine de journaux.
Au pays de Galles, c'est le mouton qui alimente les produits Sheep Poo Paper (creativepaperwales.co.uk). Des morceaux de textile recyclés sont ajoutés pour renforcer le papier. L'artisan suédois Lars Cronquist, quant à lui, exploite les excréments de l'élan mieux connu ici sous le nom d'orignal.
En Thaïlande, les 25 kilos quotidiens du couple de pandas national, Huang Chuang et Lin Hui, sont mis à contribution pour payer les frais d'entretien de leur zoo. Des produits du papier issu de leur caca conjugal ont déjà permis d'encaisser plus de 10 000 $.
Dans tous les cas, le procédé de production nécessite un long séchage au grand air, un nettoyage, puis un ajout de fibres végétales pour produire une «galette» d'où seront coupées les feuilles de papier.
--source photo--merci Thierry 0--
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