Pour le cabinet Gartner, il y a au moins trois raisons pour que l'entreprise s'intéresse aux mondes virtuels type Second Life:
1. Le monde virtuel est un bon terrain d’entraînement.
Toutes les entreprises ont un budget formation qui comprend souvent des stages de jeux de rôle et de scénarios. C’est encore plus facile dans un monde virtuel type Second Life qui sait parfaitement simuler des lieux spécifiques (un magasin, une scène de rue,..). L’interaction joueurs-entraîneurs-environnement est alors nettement plus forte via les avatars que dans la vie réelle.
A une plus grande échelle, le monde virtuel permet de simuler des situations de crise, de type militaire, terrorisme ou catastrophe naturelle.
On peut aussi se former plus facilement à utiliser des outils ou des équipements que par des méthodes traditionnelles. Le gain de temps et la productivité de ce type de formation sont clairement mesurables.
2. Gestion de projets améliorée
La gestion de projets en mode collaboratif tire bénéfice des mondes virtuels en supprimant les déplacements inutiles, en créant des salles de travail virtuel à des prix de revient beaucoup plus bas que les salles de vidéo ou de téléconférence qui restent des équipements coûteux.
3. Travail collaboratif en mode social
La mobilité accrue des collaborateurs est souvent le signe d’une entreprise réactive mais elle peut aussi être source d’isolement (seul dans sa chambre d’hôtel devant son PC), d’exclusion sociale (plus de réunions) et de baisse de créativité de groupe. Un monde virtuel peut recréer toute une série d’éléments permettant de lutter contre ces dérives. Les bénéfices se mesurent alors davantage en terme de satisfaction, de motivation et de bien-être au travail.
Rapport Gartner : “How to Justify Enterprise Investment in Virtual Worlds."
PS: n’empêche, utile ou pas, qu’il est laid ce graphisme de Second Life, c’est une horreur! On se croirait revenu aux temps préhistoriques des premiers jeux vidéos…
1. Le monde virtuel est un bon terrain d’entraînement.
Toutes les entreprises ont un budget formation qui comprend souvent des stages de jeux de rôle et de scénarios. C’est encore plus facile dans un monde virtuel type Second Life qui sait parfaitement simuler des lieux spécifiques (un magasin, une scène de rue,..). L’interaction joueurs-entraîneurs-environnement est alors nettement plus forte via les avatars que dans la vie réelle.
A une plus grande échelle, le monde virtuel permet de simuler des situations de crise, de type militaire, terrorisme ou catastrophe naturelle.
On peut aussi se former plus facilement à utiliser des outils ou des équipements que par des méthodes traditionnelles. Le gain de temps et la productivité de ce type de formation sont clairement mesurables.
2. Gestion de projets améliorée
La gestion de projets en mode collaboratif tire bénéfice des mondes virtuels en supprimant les déplacements inutiles, en créant des salles de travail virtuel à des prix de revient beaucoup plus bas que les salles de vidéo ou de téléconférence qui restent des équipements coûteux.
3. Travail collaboratif en mode social
La mobilité accrue des collaborateurs est souvent le signe d’une entreprise réactive mais elle peut aussi être source d’isolement (seul dans sa chambre d’hôtel devant son PC), d’exclusion sociale (plus de réunions) et de baisse de créativité de groupe. Un monde virtuel peut recréer toute une série d’éléments permettant de lutter contre ces dérives. Les bénéfices se mesurent alors davantage en terme de satisfaction, de motivation et de bien-être au travail.
Rapport Gartner : “How to Justify Enterprise Investment in Virtual Worlds."
PS: n’empêche, utile ou pas, qu’il est laid ce graphisme de Second Life, c’est une horreur! On se croirait revenu aux temps préhistoriques des premiers jeux vidéos…
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