C’est le leitmotiv de la rentrée : on va crouler sous les données de toute sorte.
Ici on nous prévient : dans l’entreprise 50% des données existent de manière non formelle, en clair ne sont pas organisées en bases de données centrales. On pense aux e-mails, aux vidéos, aux chats, aux texto, aux infos fournies par les collaborateurs sur des réseaux sociaux ou tout type de site web externe.
Là, c’est IBM qui prédit : le volume de l’empreinte numérique de chacun d’entre nous va être multiplié par 16 d’ici 2020 (finalement, je ne trouve pas ça si énorme !
IDC nous annonce1 000 exaoctets créés dans le monde en 2010. Why not? Ca fait combien déjà un exaoctet? 10 puissance 18 octets, si vous voulez savoir, ou encore 2 puissance 60, bref quelque chose comme 1 024 petaoctets, eh oui, un pleu plus de 1,15 milliard de millard d'octets, deux bons petits milliard d'encyclopédies qui se trimbalent comme ça dans la nature.
Les raisons de l’explosion ? En vrac le web mobile, les capteurs connectés partout (dans les voitures, dans les pipelines…), les renseignements médicaux on-line, les tags RFID.
Le tout, bien sûr, sur fond de démocratisation du web : selon IBM, en 2011, il y a aura deux milliards de gens et un milliard d’objets connectés , rassemblés dans le concept de « l’internet des objets ».
Les données et les réseaux de communication seront disponibles partout, c’est l’image du « cloud computing », l’informatique est dans les nuages, autrement dit accessible partout, par tout type de terminal.
IBM affûte ses arguments pour se préparer à cette révolution avec un nouveau disque de stockage, issu de son rachat de l’israélien XIV en janvier dernier, construit autour d’une architecture de type « grid computing » (grille informatique).
Bref, c’est parti, la course à l’innovation technologique est relancée, on ne va pas s’ennuyer dans les semaines et les mois à venir !
Un seul problème, de taille, n’est pas tout à fait résolu : que va-t-on faire de toutes ces données quand elles seront à portée de clic ?...
Ici on nous prévient : dans l’entreprise 50% des données existent de manière non formelle, en clair ne sont pas organisées en bases de données centrales. On pense aux e-mails, aux vidéos, aux chats, aux texto, aux infos fournies par les collaborateurs sur des réseaux sociaux ou tout type de site web externe.
Là, c’est IBM qui prédit : le volume de l’empreinte numérique de chacun d’entre nous va être multiplié par 16 d’ici 2020 (finalement, je ne trouve pas ça si énorme !
IDC nous annonce1 000 exaoctets créés dans le monde en 2010. Why not? Ca fait combien déjà un exaoctet? 10 puissance 18 octets, si vous voulez savoir, ou encore 2 puissance 60, bref quelque chose comme 1 024 petaoctets, eh oui, un pleu plus de 1,15 milliard de millard d'octets, deux bons petits milliard d'encyclopédies qui se trimbalent comme ça dans la nature.
Les raisons de l’explosion ? En vrac le web mobile, les capteurs connectés partout (dans les voitures, dans les pipelines…), les renseignements médicaux on-line, les tags RFID.
Le tout, bien sûr, sur fond de démocratisation du web : selon IBM, en 2011, il y a aura deux milliards de gens et un milliard d’objets connectés , rassemblés dans le concept de « l’internet des objets ».
Les données et les réseaux de communication seront disponibles partout, c’est l’image du « cloud computing », l’informatique est dans les nuages, autrement dit accessible partout, par tout type de terminal.
IBM affûte ses arguments pour se préparer à cette révolution avec un nouveau disque de stockage, issu de son rachat de l’israélien XIV en janvier dernier, construit autour d’une architecture de type « grid computing » (grille informatique).
Bref, c’est parti, la course à l’innovation technologique est relancée, on ne va pas s’ennuyer dans les semaines et les mois à venir !
Un seul problème, de taille, n’est pas tout à fait résolu : que va-t-on faire de toutes ces données quand elles seront à portée de clic ?...
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