Quand on est pauvre, on devient intelligent; c'est vrai pour l’État comme pour les individus
François Elie, président de l'Adullact
En attendant de répondre plus longuement à Baron(sur communication et information) qui me signale qu'elle est concernée voire impliquée... "Etre impliqué ou "être concerné"? : pour faire comprendre la différence à des gens, par exemple en séminaire de motivation des troupes, vous leur dites simplement: "Si vous voulez faire des oeufs au bacon, vous avez besoin, au départ, d'une poule et d'un cochon; la différence à l'arrivée, dans votre poèle, c'est que la poule est concernée mais le cochon, lui, est impliqué."
Commentaire de François Elie que je retransmets: Cette phrase a été mal comprise lorsque je l'ai reprise pour parler du budget d'Angoulême. Par un journaliste et/ou par l'opposition et des gens dans le public. Ils ont cru que c'était méprisant pour les pauvres... qui auraient à devenir intelligents. On croit rêver! Il a fallu que je me défende sur un forum pour expliquer cette phrase. Snip. Je ne renie pas. Mais je précise: pour les Etats, ça a l'air plus lent que pour les individus, le temps que ceux qui décident s'en avisent!
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